• Voici la mésaventure qui est arrivée à Anka notre chienne berger allemand.

    Notre grand chien avait l’habitude de satisfaire ses besoins dans le jardin et Michel faisait régulièrement la ronde pour récupérer les petits tas afin que nous ne marchions pas dedans. Pourquoi ? Puisqu’il paraît que ça porte-bonheur !
               Un jour, il surprit notre Grand Chien en pleine action. Vite la grande pelle, qu’il installa sous le derrière de notre Grande, et dès que tout fut fini, il retira la pelle. Mais, on le sait bien, tous les chiens vont sentir ce qu’ils ont rejeté et aussitôt recouvrent de terre avec les pattes arrières. La surprise ! Il n’y avait rien ! Elle ne comprenait plus, elle avait pourtant forcé. Elle savait bien quand même ! Et pourquoi est-ce qu’il riait celui là ? Il était plié en deux, tout content de sa farce qu’il ne recommença pas de peur de la traumatiser. Il faut reconnaître que cela doit être frustrant.


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  • Voici la mésaventure qui est arrivée à Anka notre chienne berger allemand.

    Notre grand chien avait l’habitude de satisfaire ses besoins dans le jardin et Michel faisait régulièrement la ronde pour récupérer les petits tas afin que nous ne marchions pas dedans. Pourquoi ? Puisqu’il paraît que ça porte-bonheur !
               Un jour, il surprit notre Grand Chien en pleine action. Vite la grande pelle, qu’il installa sous le derrière de notre Grande, et dès que tout fut fini, il retira la pelle. Mais, on le sait bien, tous les chiens vont sentir ce qu’ils ont rejeté et aussitôt recouvrent de terre avec les pattes arrières. La surprise ! Il n’y avait rien ! Elle ne comprenait plus, elle avait pourtant forcé. Elle savait bien quand même ! Et pourquoi est-ce qu’il riait celui là ? Il était plié en deux, tout content de sa farce qu’il ne recommença pas de peur de la traumatiser. Il faut reconnaître que cela doit être frustrant.


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  • Les roses de Gouraya

     

    Et soudain, ce matin, petit bouton de rose,

    Dans le creux de ma main tremblante, on te dépose,

    Corolle encore fermée, paupières mi-closes.

    Subjuguées, toi et moi, nous sommes en osmose ;

    Disons-le Dame Nature a bien fait les choses.

    Cœur débordant de joie, je me sens virtuose.

    Extase du regard, tu te métamorphoses,

    De la pudique églantine au laurier rose,

    De trémière à l’éblouissant diamant en rose,

    Des vents, de sable ou de Jéricho, tu es rose.

    Tu dors dans ma main et légère, tu reposes,

    Innocente des doux baisers que je dépose

    Sur ta joue pâle, comme un  pétale de rose.

     

    Béjar  / Yvette


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  • Les roses de Gouraya

     

    Et soudain, ce matin, petit bouton de rose,

    Dans le creux de ma main tremblante, on te dépose,

    Corolle encore fermée, paupières mi-closes.

    Subjuguées, toi et moi, nous sommes en osmose ;

    Disons-le Dame Nature a bien fait les choses.

    Cœur débordant de joie, je me sens virtuose.

    Extase du regard, tu te métamorphoses,

    De la pudique églantine au laurier rose,

    De trémière à l’éblouissant diamant en rose,

    Des vents, de sable ou de Jéricho, tu es rose.

    Tu dors dans ma main et légère, tu reposes,

    Innocente des doux baisers que je dépose

    Sur ta joue pâle, comme un  pétale de rose.

     

    Béjar  / Yvette


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  • Cet après-midi il faisait beau et chaud à
    Saint Sébastien
    dans les îles de Loire.
    Chloroph'îles avait attiré beaucoup de monde.

     

     

     

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  • Cet après-midi il faisait beau et chaud à
    Saint Sébastien
    dans les îles de Loire.
    Chloroph'îles avait attiré beaucoup de monde.

     

     

     

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  • Mitou le Tripatte

     

    Mitou n’a que trois pattes. Deux devant et une seule à l’arrière.

    C’était un jeune chat, solitaire, errant dans la ville et trouvant sa pitance auprès de quelques habitants du quartier.

    Un jour, il arriva avec le bout de sa patte arrière droite mutilé. Ensuite, elle fut sectionnée plus haut. Et comme si ce n’était pas suffisant, la pauvre fut complètement « dépiautée » comme quand on dépèce un lapin. Qui avait fait cela ? Etait-ce un acte de cruauté volontaire, un accident, un piège ? Etonnant quand on voit la répétition des faits ! Il trouva refuge dans un garage.

    La propriétaire ne pouvant l’approcher, lui donna cependant à manger, mais il fallait le secourir. Elle connaissait une bénévole dans un refuge pour animaux, et lui demanda de l’aider.

    Le pauvre animal se retrouva pris en charge par l’équipe du refuge « Des Animaux et des hommes » mais dut subir l’amputation jusqu’à la cuisse.

    De passage dans ce refuge, mon mari et moi, nous apprîmes les misères de la pauvre bête. Il allait mieux, les soins étaient finis, il fallait qu’il apprenne à marcher avec une patte en moins.

    Que faire ? Nous avions douze chats chez nous. Vous direz, un de plus ou un de moins, ça ne paraîtra pas. Sauf que c’était un jeunot et vu notre âge il valait mieux s’abstenir. Un coup de fil rapide chez Patricia (notre fille) et Mitou s’est retrouvé le soir-même chez elle, entouré de quatre autres congénères et un grand chien.

    Il a fallu de la patience à tout le monde pour que tout se passe bien. Et tout s’est bien passé. Cependant il reste un peu sauvage vis à vis des humains, sauf avec sa maîtresse qu’il adore. Les autres greffiers ont tout de suite compris son handicap. Et régulièrement, quotidiennement, ils allaient à la chasse pour lui,  et lui rapportaient un mulot, un oiseau, un lézard …

    Le plus étrange c’est qu’il court dans le jardin qui est immense, à une vitesse folle mais jamais droit. Chez lui la ligne droite n’est pas la plus courte. Il dévie en arc de cercle !


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  • Mitou le Tripatte

     

    Mitou n’a que trois pattes. Deux devant et une seule à l’arrière.

    C’était un jeune chat, solitaire, errant dans la ville et trouvant sa pitance auprès de quelques habitants du quartier.

    Un jour, il arriva avec le bout de sa patte arrière droite mutilé. Ensuite, elle fut sectionnée plus haut. Et comme si ce n’était pas suffisant, la pauvre fut complètement « dépiautée » comme quand on dépèce un lapin. Qui avait fait cela ? Etait-ce un acte de cruauté volontaire, un accident, un piège ? Etonnant quand on voit la répétition des faits ! Il trouva refuge dans un garage.

    La propriétaire ne pouvant l’approcher, lui donna cependant à manger, mais il fallait le secourir. Elle connaissait une bénévole dans un refuge pour animaux, et lui demanda de l’aider.

    Le pauvre animal se retrouva pris en charge par l’équipe du refuge « Des Animaux et des hommes » mais dut subir l’amputation jusqu’à la cuisse.

    De passage dans ce refuge, mon mari et moi, nous apprîmes les misères de la pauvre bête. Il allait mieux, les soins étaient finis, il fallait qu’il apprenne à marcher avec une patte en moins.

    Que faire ? Nous avions douze chats chez nous. Vous direz, un de plus ou un de moins, ça ne paraîtra pas. Sauf que c’était un jeunot et vu notre âge il valait mieux s’abstenir. Un coup de fil rapide chez Patricia (notre fille) et Mitou s’est retrouvé le soir-même chez elle, entouré de quatre autres congénères et un grand chien.

    Il a fallu de la patience à tout le monde pour que tout se passe bien. Et tout s’est bien passé. Cependant il reste un peu sauvage vis à vis des humains, sauf avec sa maîtresse qu’il adore. Les autres greffiers ont tout de suite compris son handicap. Et régulièrement, quotidiennement, ils allaient à la chasse pour lui,  et lui rapportaient un mulot, un oiseau, un lézard …

    Le plus étrange c’est qu’il court dans le jardin qui est immense, à une vitesse folle mais jamais droit. Chez lui la ligne droite n’est pas la plus courte. Il dévie en arc de cercle !


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