Je ne pouvais pas peindre l'Estuaire de la Loire sans ses pêcheries.

    Au fond à gauche on devine le pont de Saint Nazaire,

A droite en arrière plan, les raffineries de Donges.

Il y avait de gros ruminants  à cet endroit mais je n'ai pu les avoir sur la photo.

Ce tableau a été vendu à des personnes de Saint Nazaire.

Cela me chagrine toujours de me séparer de mes oeuvres!

C'est un peu de moi qui s'en va.

Peinture à l'huile grand format.

Je n'ai pas trop l'habitude de peindre ce genre de sujet.

Je l'ai fait d'après une photo,

il est difficile de tenir un chevalet par gros temps.

Je le sais par expérience,

il fallait attacher le parasol au chevalet et au siège.

C'est tout juste si je n'étais pas attachée moi-même !

Pour les amateurs de peinture,

Je viens d’ouvrir un nouveau blog sur Eklablog :

Béjar Peinture Passion

    http://yvette44.eklablog.fr/

J’ai repris tout ce que j’avais sur Overblog

 mais j’en ai rajouté depuis.

Vous y trouverez toute la peinture que j’aime,

les grands peintres qui m’ont inspirée.

Beaucoup de paysages surtout.

Autant que je me fasse plaisir n’est-ce pas ?

Mais aussi des vidéos sur certains  peintres illustres et glanées sur le net.

Et bien entendu mes œuvres !

Quelques poèmes, soit de ma composition, soit d’auteurs célèbres accompagneront parfois ces tableaux !

Il y a une newsletter pour celles et ceux qui seraient intéressés.

Je vous y accueille avec plaisir.

Je vous signale au passage que "Béjar" n'est pas mon nom de famille ni mon prénom, mais un surnom (mon pseudo) que l'on m'a donnée quand j'étais enfat, mais qui ne sert plus depuis plus de 50 ans!  Sauf dans mes souvenirs!

Me voici encore avec des vagues sur l'Océan.

J'en ai encore un autre sur la mer qui se termine.

Mais il faut du temps, beaucoup de temps !!!!

Et là encore , les couleurs !

 Que c'est difficile de reproduire à l'identique!

Si je corrige le bleu de la mer, c'est le ciel qui n'est plus dans le ton!

Un essai de mer en mouvement.

Un peu difficile à réaliser.

Moi qui hésitais, j'y ai pris un grand plaisir . 

Marée haute sur la côte de Jade.

 Peinture à l'huile faite récemment.

Je ne suis pas allée sur la côte cet été

alors je me venge en peignant l'Océan de ma région

...Et des vagues de dunes, pour arrêter les vagues,

Et de vagues rochers que les marées dépassent

Et qui ont à jamais le coeur à marée basse. ...

Le plat pays de J Brel

Le Douet à St Sébastien vers les années 1930/50.

Ce tableau a servi d'affiche lors de mon expo en 2002.

Exécuté à partir d'une carte postale de l'époque.

 Il a fallu que je sonde pour savoir comment étaient les toitures

Je l'ai fait 3 fois, (ce que j'ai horreur de faire) pas tout à fait à l'identique,

 sauf en ce qui concerne les maisons.

 Plusieurs personnes avaient habité dans ces maisons,

 beaucoup ont dû se contenter de l'affiche,

 je ne pouvais décemment pas le refaire plusieurs fois.

Il m'est arrivé de peindre autre chose que des paysages

En voici un exemple.

En ce moment peu de temps pour peindre.

Enfin... peinture sur toile ,

parce que le pinceau ne me quitte pas les doigts,

 mais ce n'est pas la même taille:

 Volets, muret et fer forgé, ça y est je crois être à jour.

La marguerite de Georges Brassens

 Un tableau que j'ai peint de mémoire.

Une création!

 J'ai vu cette scène en passant sur une route ,

je ne conduisais pas.

J'ai pris mon carnet

  j'ai mémorisé la scène du mieux que j'ai pu.

 Et je me suis mise au travail en arrivant à la maison!

L'abreuvoir

 En un creux de terrain aussi profond qu'un antre
Les étangs s'étalaient dans leur sommeil moiré,
Et servaient d'abreuvoir au bétail bigarré,
Qui se beignait, le corps dans l'eau jusqu'à mi-ventre.

Les troupeaux déscendaient, par des chemins penchants:
Vaches à pas lents, chevaux menés à l'amble,
Et les boeufs noirs et roux qui souvent tous ensemble,
Beuglaient, le cou tendu, vers les soleil couchants.

Tout s'anéantissait dans la mort coutumière,
Dans la chute du jour : couleurs, parfum, lumière,
Explosions de sève et splendeurs d'horizon:

Des brouillards s'étendaient en linceuls aux moissons,
Des routes s'enfonçaient dans le soir ...infinies,
Et les grands boeufs semblaient râler ces agonies.

Emile Verhaeren

Sur les bords de la Logne à Corcoué.

J'ai peint ces arbres sur place avec mon chevalet.

Il faisait très beau en cette fin d'été!