• L'estuaire de la Loire, le pont de Saint Nazaire

    Une pêcherie à Saint Brévin les Pins. Il faisait beau ce jour-là!

     Le pont de Saint Nazaire vu de Saint Brévin .

    Le pont de Saint Nazaire a été mis en service le 18 octobre1975 après trois ans de construction. Avec sa travée centrale de 404 m, l'ouvrage métallique de 720 m détenait à sa construction le record mondial de portée pour un pont métallique haubané.

    L'ensemble des ouvrages avec les viaducs d'accès représente une longueur totale de 3 356 mètres.


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  • L'estuaire de la Loire à Cordemais


    La commune de Cordemais est située sur la rive nord de l'estuaire de la Loire, à 34 km à l'ouest de Nantes et 36 km à l'est de Saint-Nazaire.

    Cordemais se situe sur rive nord de l’Estuaire de la Loire de La Loire. Des cours d’eau provenant du Sillon parcourent la commune. Le « plan d'eau de la Côte » a été créé en 2001 pour recréer les conditions d’une zone humide propice à l’essor de la faune et la flore.

    Le nom de Cordemais viendrait du gaulois Corbilo, ou bien de l'expression latine Cor Maris : « Cœur de Mer ». On peut lire Cordemes en 1060 dans le Cartulaire de Redon

    .

     Le petit port de plaisance

    Le grand port


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  • Le cul du moulin ou moulin pendu!



    Le moulin pendu, avec ses deux arches ogivales, veille sur la Loire.
    Il est situé à  l'ouest de Champtoceaux.



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  • Le petit port de la Patache
    Un étier en bordure de Loire.
    L'eau y est très limpide!
    Etonnant nest-ce pas?
    Et pourtant ça existe encore!
    Encore une idée de tableau!


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  • La Loire à Indre, dans l'estuaire.

    Au fleuve de Loire

    Joachim Du Bellay

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    Ô de qui la vive course
    Prend sa bienheureuse source,
    D'une argentine fontaine,
    Qui d'une fuite lointaine,
    Te rends au sein fluctueux
    De l'Océan monstrueux,
    Loire, hausse ton chef ores
    Bien haut, et bien haut encores,
    Et jette ton oeil divin
    Sur ce pays Angevin,
    Le plus heureux et fertile,
    Qu'autre où ton onde distille.
    Bien d'autres Dieux que toi, Père,
    Daignent aimer ce repaire,
    A qui le Ciel fut donneur
    De toute grâce et bonheur.
    Cérès, lorsque vagabonde
    Allait quérant par le monde
    Sa fille, dont possesseur
    Fut l'infernal ravisseur,
    De ses pas sacrés toucha
    Cette terre, et se coucha
    Lasse sur ton vert rivage,
    Qui lui donna doux breuvage.
    Et celui-là, qui pour mère
    Eut la cuisse de son père,
    Le Dieu des Indes vainqueur
    Arrosa de sa liqueur
    Les monts, les vaux et campaignes
    De ce terroir que tu baignes.
    Regarde, mon Fleuve, aussi
    Dedans ces forêts ici,
    Qui leurs chevelures vives
    Haussent autour de tes rives,
    Les faunes aux pieds soudains,
    Qui après biches et daims,
    Et cerfs aux têtes ramées
    Ont leurs forces animées.
    Regarde tes Nymphes belles
    A ces Demi-dieux rebelles,
    Qui à grand'course les suivent,
    Et si près d'elles arrivent,
    Qu'elles sentent bien souvent
    De leurs haleines le vent.
    Je vois déjà hors d'haleine
    Les pauvrettes, qui à peine
    Pourront atteindre ton cours,
    Si tu ne leur fais secours.
    Combien (pour les secourir)
    De fois t'a-t-on vu courir
    Tout furieux en la plaine?
    Trompant l'espoir et la peine
    De l'avare laboureur,
    Hélas! qui n'eut point d'horreur
    Blesser du soc sacrilège
    De tes Nymphes le collège,
    Collège qui se récrée
    Dessus ta rive sacrée.
    Qui voudra donc loue et chante
    Tout ce dont l'Inde se vante,
    Sicile la fabuleuse,
    Ou bien l'Arabie Heureuse.
    Quant à moi, tant que ma Lyre
    Voudra les chansons élire
    Que je lui commanderai,
    Mon Anjou je chanterai.
    Ô mon Fleuve paternel,
    Quand le dormir éternel
    Fera tomber à l'envers
    Celui qui chante ces vers,
    Et que par les bras amis
    Mon corps bien près sera mis
    De quelque fontaine vive,
    Non guère loin de ta rive,
    Au moins sur ma froide cendre
    Fais quelques larmes descendre,
    Et sonne mon bruit fameux
    A ton rivage écumeux.
    N'oublie le nom de celle
    Qui toutes beautés excelle,
    Et ce qu'ai pour elle aussi
    Chanté sur ce bord ici.


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  • L'estuaire de la Loire

     Au milieu: l'île Beaulieu
    Sur la gauche les îles Forget et Pinette
    et en premier plan (amont) l'île Héron
    Les trois îles de Saint Sébastien, "mes îles".
    L'Océan est tout au fond
    trop loin pour qu'on puisse le voir.
    Nantes : sur la droite et au milieu sur l'île Beaulieu.
    Les premiers ponts sont les ponts de la Vendée


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  • La Loire au pont de la Vendée à Saint Sébastien

    Je chante pour la Loire

    Je chante pour la Loire
    Qui coule sans répit
    Je berce dans le soir,
    La loire dans son lit.

    Je chante ses bâtisses
    Et ses manoirs anciens.
    J'admire ses esquisses,
    Poètes, musiciens.

    Je chante ses Eglises,
    Ses Chapelles et Croix.
    J'invite ses Marquises,
    Ses Comtes et ses Rois.

    Je chante ses oiseaux,
    Cadeaux de la nature,
    J'observe les roseaux,
    Repos ou aventure.

    Je chante ses coteaux,
    Le bon vin et ses treilles.
    Je cours sur ses plateaux
    Découvrir les merveilles.

    Je chante ses amours,
    Ses chagrins et ses peines.
    Je vêts de beaux atours
    Les Seigneurs et les Reines.

    Je chante, troubadour,
    Pour ma Loire si belle,
    Qui s'en va , file, court
    Dans le vent, la rebelle.

    Je chante mon refrain,
    La Loire et sa romance.
    Je veux louer sans fin
    Le Paradis de France.

    Dominique Simonet


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  • Nantes, vue de la côte Saint-Sébastien, huile sur toile, 1947.
    Je suppose que c'est le bras de Loire qui s'appelle le Boireau
    à l'époque où les bateaux pouvaient encore naviguer sur ses eaux.


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  • Elles sont trois îles à Saint Sébastien sur Loire.
    Je vous les nomme:
    L'île Héron, l'île Pinette et l'île Foget.
    J'ai pris des photos au cours de mes pérégrinations sur ces îles
    et puis j'ai écrit aussi un petit poème les décrivant

    Ile héron
    Ile Forget
    Ile Pinette

    Les trois sœurs

     

    Elles sont trois sœurs se tenant par la main,

    Trois elfes dans les brumes du matin,

    Attendant l’apparition du soleil,

    Près d’une onde sans nulle autre pareille.

    Vénus leur donna fraîcheur et beauté,

    Splendeur et éclat pour l’éternité.

    Amphitrite sur ses eaux bleues voguant,

    Leur offrit la brise de l’océan.

     

    Elles sont trois sœurs se tenant par la main,

    Le roi des aulnes étant leur parrain.

     

    La première on l’a nommée « Forget ».

    Née le long de pâtures ombragées,

    Elle offre à des enfants tumultueux,

    La chevauchée d’un dragon aventureux.

    Des trains chargés de passagers joyeux,

    La saluent d’un air malin et envieux,

    Divertissant les trognes endormies,

    Les randonneurs paisibles et les pies.

     

    Elles sont trois sœurs se tenant par la main,

    S’en allant par ponts, gués et chemins.

     

    La deuxième fut baptisée « Pinette ».

    Se pavanant capricieuse et coquette

    Dans sa robe fleurie de fritillaires,

    Marguerites, boutons d’or et fougères,

    Elle enflamme le cœur de deux galants,

    « Le Boireau et le Gourdeau » l’enlaçant,

    Sous l’œil attendri de doux ruminants,

    De chevaux et poneys caracolants.

     

    Elles sont trois sœurs se tenant par la main,

    Se lovant entre les flots ligériens.

     

    La troisième est la bien nommée « Héron ».

    Courant les pieds nus dans les blancs sablons,

    Elle offre à nos yeux un bien beau ramage.

    Solitaire et d’une beauté sauvage,

    Elle cache près d’une ferme qui dort,

    Une flore aux effets multicolores,

    Les iris et les roseaux des héronnières

    Hébergeant les ragondins et les colverts.

     

    Elles sont trois sœurs qui vous tendent la main

    Au-dessus de leur merveilleux jardin.

     

                                Yvette Le Quéau 
      


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  • La Loire


    La poésie de VIELÉ-GRIFFIN est d’une clarté limpide ; le poète veut ouvrir des fenêtres, respirer. Sa poésie est faite de couleurs, de lumière et d'eau comme par exemple lorsqu'il chante la Loire :

    "La lente Loire passe altière et, d'île en île,
    Noue et dénoue, au loin, son bleu ruban moiré ;
    La plaine, mollement, la suit, de ville en ville,
    Le long des gais coteaux de vigne et de forêt ;
    Elle mire, orgueilleuse, aux orfrois de sa traîne
    Le pacifique arroi de mille peupliers,
    Et sourit doucement à tout ce beau domaine
    De treilles, de moissons, de fleurs et d'espaliers.
    Ce jardin fut le nôtre ; un peu de temps encor,
    Ta douce main tendue en cueillera les roses ;
    J'ai regardé fleurir dans sa lumière d'or
    La fine majesté des plus naïves choses : 

    Les reines ont passé : voici la royauté
    Des Lys, que leur blason au parterre eût ravie,
    Et voici, fraîche encor d'éternelle beauté,
    La frêle fleur éclose à L'Arbre de la Vie."


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