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Eh oui le chat se nettoie souvent.
Et que c'est beau de le voir se contorsionner, quelle souplesse!
Un chat qui vit dehors reçoit les rayons du soleil
et passe son temps à se lécher.
Ses poils ont accumulé de la vitamine D et en se léchant il en bénéficie.
Quant à dire que le chat sait ce que c'est que la vitamine D ...
Alors pourquoi derrière l'oreille?
Quand on fait sa toilette on la fait correctement!
Et la langue du chat n'est pas assez longue pour passer derrière son oreille,
alors il se lèche la patte et s'en sert de gant de toilette,
C'est tout simple!
Il y a peut-être d'autres raisons.
Alors racontez-moi!
14 commentaires -
Eh oui le chat se nettoie souvent.
Et que c'est beau de le voir se contorsionner, quelle souplesse!
Un chat qui vit dehors reçoit les rayons du soleil
et passe son temps à se lécher.
Ses poils ont accumulé de la vitamine D et en se léchant il en bénéficie.
Quant à dire que le chat sait ce que c'est que la vitamine D ...
Alors pourquoi derrière l'oreille?
Quand on fait sa toilette on la fait correctement!
Et la langue du chat n'est pas assez longue pour passer derrière son oreille,
alors il se lèche la patte et s'en sert de gant de toilette,
C'est tout simple!
Il y a peut-être d'autres raisons.
Alors racontez-moi!
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Paul Chaigneau peintre du 19ème siècle, 1830-1906
s'est spécialisé dans les paysages, scènes pastorales.
Nombreux sont les tableaux qu'il a peints
representant un troupeau de moutons avec son berger.
De même que ces périodes se situaient en fin de journée,
avec de merveilleux couchers de soleil
Je suis admirative devant un tel talent.
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Paul Chaigneau peintre du 19ème siècle, 1830-1906
s'est spécialisé dans les paysages, scènes pastorales.
Nombreux sont les tableaux qu'il a peints
representant un troupeau de moutons avec son berger.
De même que ces périodes se situaient en fin de journée,
avec de merveilleux couchers de soleil
Je suis admirative devant un tel talent.
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Le printemps Le soleil faisait craquer les derniers et tardifs bourgeons des chênes
sous la pression chaude de ses rayons.
Les verdures se nuançaient à l'infini.
C'était une symphonie de couleurs allant du cri violent des verts
aux pâleurs mièvres des rameaux inférieurs,
dont les feuilles tendres, aux épidermes délicats et ténus
n'avaient pas encore reçu le baptême ardent de la pleine lumière,
bu la lampée d'or des rayons chauds,
car leur oblique courant n'avait pu combler jusqu'alors
que les lisières privilégiées et les faîtes victorieux.
Mais ce jour-là, une vie multiple et grouillante,
végétale et animale, sourdait de partout,
des crépitements des insectes et du chant des oiseaux
à l'éclatement des bourgeons et au gonflement des rameaux,
craquant dans l'air vibrant comme des muscles qui s'essaient.
Louis Pergaud
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Le printemps Le soleil faisait craquer les derniers et tardifs bourgeons des chênes
sous la pression chaude de ses rayons.
Les verdures se nuançaient à l'infini.
C'était une symphonie de couleurs allant du cri violent des verts
aux pâleurs mièvres des rameaux inférieurs,
dont les feuilles tendres, aux épidermes délicats et ténus
n'avaient pas encore reçu le baptême ardent de la pleine lumière,
bu la lampée d'or des rayons chauds,
car leur oblique courant n'avait pu combler jusqu'alors
que les lisières privilégiées et les faîtes victorieux.
Mais ce jour-là, une vie multiple et grouillante,
végétale et animale, sourdait de partout,
des crépitements des insectes et du chant des oiseaux
à l'éclatement des bourgeons et au gonflement des rameaux,
craquant dans l'air vibrant comme des muscles qui s'essaient.
Louis Pergaud
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