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Les peintres impressionnistes dans les jardins
...C'est l'éblouissement, c'est l'espoir, c'est l'ivresse ;
La plante est une femme, et mon vers la caresse ; ...Victor Hugo
Camille Corot, le parc de lions à Port Marly,
une partie en gros plan du tableau 1872
Childe Hassam, les géraniums 1889
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Commentaires
On reve de pouvoir contempler sans limites ces toiles!!!!! C'est souvent ce que je pense quand je suis au Musée...merci Yvette
Je ne vais que rarement dans les musées, il y a trop de mélanges, et je ne suis que rarement satisfaite!
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Bonjour Yvette,
De mes lectures, j'ai retenu ceci :
« ... la poursuite de la pure énergie lumineuse, à laquelle se livre l'impressionnisme, va dissoudre la matière elle-même. Désintégrée, éparpillée en des myriades d'éclats colorés, elle est abandonnée en holocauste à la lumière vibrante. Les notions fixes qui avaient permis de concevoir et de voir une réalité permanente sont immolées pour acquérir les deux éléments les plus réfractaires à la peinture : le mouvant et sa conséquence, la durée. »
Huyghe, Dialog. avec visible, 1955, p. 158.
... Et de Corot :
Ses voyages en Italie
Et son tableau
Tivoli, les jardins de la Villa d'Este