• Gouraya: Mémoires

    On engrange tout dans son esprit,

     tout au long de son existence,

    mais il est impossible que tout nous revienne seconde par seconde.

    Il nous faudrait une deuxième vie !

    Et quand un petit élément de cet immense magasin intérieur

    qu’est notre cerveau refait surface,

    il faut se dire qu’il a une raison, une signification.

    Et tout afflue avec de plus en plus de précision,

    de force, de profondeur, de lumière.

    Oui, de lumière !

     

     

     Quelques lignes prises au hasard dans mes mémoires

    Sur "Gunugu ou les roses de Gouraya "


  • Commentaires

    1
    Samedi 20 Novembre 2010 à 08:40

    oui...des bribes de mémoire nous reviennent pour devenir ensuite tout un pan de notre passé...qui nous arrive en pleine gueule...et là parfois ce sont les larmes qui l'accompagnent...

    Nous partageons les memes souvenirs ma chère Yvette

    2
    Samedi 20 Novembre 2010 à 14:27

    Bonjour Yvette,

    Ton livre, enfin je l'ai maintenant entre les mains. C'est qu'il a beaucoup voyagé pour une lecture à l'oeil.

    À propos de mémoire, j'entrouvre le livre et je tombe par hasard sur les pages 106 et 107.

    Ça parle justement de Gouraya, l'entrée par la route nationale, suivi de ton poème El oued, consacré à l'oued Réha, ton oued d'enfance. C'est inoui, plein de détails, comme si vous y êtiez hier.

    En effet, il d'un rien et tous les souvenirs reviennent avec moult détails. Ce rien s'appelle l'élément déclencheur, comme une étincelle qui allume la flamme.

     

    3
    Samedi 20 Novembre 2010 à 23:36

    Bonjour Yvette

    Bien le bonjour du Quebec

    Mes amitiés à Michel

    4
    Dimanche 21 Novembre 2010 à 14:25

    Oui c'est exactement ça! C'est l'âge ma pauvre!!!!

    5
    Dimanche 21 Novembre 2010 à 14:32

    J'ai fait un grand bond en arrière, c'est vrai. Les souvenirs affluent c'est incroyable. Un nom qui au début ne dit rien, en cherchant un peu , en fouillant on finit par se le rappeler avec même plein de détails que l'on avait complètement oubliés. Ce monsieur que j'ai rencontré à mon expo, son nom ne me disait rien et puis hop! j'ai trouvé. Sa mère, était très douce et moi gamine, 5 ans, je trouvais que son nom de famille convenait bien à cette douceur: Lamoussière! Et cela m'est revenu plus de 60 ans après. Un trou de 60 ans !!!

    6
    Dimanche 21 Novembre 2010 à 14:35

    Ah mais dis-moi, tu en fais du chemin! Et Farida est avec toi? bonjour alors aux québécois!

    7
    ed
    Lundi 22 Novembre 2010 à 08:01

    cela est si joli......et vrai, bisous

    8
    Lundi 22 Novembre 2010 à 17:46

    C'est du vécu, merci de ta visite et à+.

    9
    Lundi 22 Novembre 2010 à 19:24

    jolie incitation à te lire.

    c'est vrai que parfois plein de choses remontent ainsi. et pour les pays pleins de lumière qu'on a aimés, ça revient chargé de nostalgie.

    10
    Dimanche 28 Novembre 2010 à 15:08

    C'est en parlant que tout nous revient. A midi avec mon mari on a eu plein de moments qui nous sont revenus et qu'on pensait avoir oubliés

    11
    anne-marie godeau
    Jeudi 8 Novembre 2012 à 11:36

    Merci Yvette, tu m'as permis un retour dans ce qui fut pour moi le Paradis de mon enfance. J'ai été imprégnée de la beauté de cet endroit à l'âge de 5ans, de 1950 à 1955. Peut-être pourrions-nous partager nos souvenirs? Je vis au sud de Nantes, côté Atlantique. 

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