•  


    Cet été une de nos voisines nous a rapporté du raisin de Noirmoutier.
    De la vigne qui pousse dans du sable.
    Et en prenant une grappe, plein de petits escargots en sont tombés.
    Je les ai récupérés et mis dans un récipient
    et je leur ai donné à manger, des feuilles,
    de la mousse (ils adorent!!)
     de la salade et je les ai toujours.
     Ils ne s'en vont pas, ils sont à l'air libre
    et tous les jours ils ont de la nourriture fraîche
    plus une petite vaporisation d'eau.
    Et ils se régalent.
    Ah! j'ai oublié de vous dire,
     ils ne mesurent pas plus de 5mm,
    et quand j'en prends un, il faut que je fasse très attention,
    la coquille est hyper fragile.
     Que font ces petits escagots l'hiver?
     est-ce qu'ils se cachent?
     est-ce qu'ils jeûnent?
    est-ce qu'ils hibernent?
    Et je ne peux pas les remettre en liberté,
     ils ne seront pas dans leur milieu
    et moi ça me plaît de les avoir. 
    A savoir qu'ils ne sont pas en prison, ils sont à ciel ouvert.
    J'ai l'impression qu'ils se sentent bien à la maison,
    car ils ont de la nourriture en abondance.
     Le jour on dort, la nuit on mange et on se promène!
    Je n'ai pas manqué de les filmer , vous pensez bien!


    22 commentaires


  • Pourquoi l'araignée ne s'englue-t-elle pas dans sa toile?

    Vous avez certainement déjà observé un malheureux moucheron se débattant, englué dans la toile d'une araignée. L'araignée tisse sa toile en secrétant un fil de soie couvert d'une substance gluante qui piège ses proies.
    Mais en y regardant de plus près, on s'aperçoit que l'araignée tisse deux sortes de fils : certains sont gluants, d'autres pas.
    Pour fabriquer
    son piège, elle commence par tendre un cadre de fils non collants, ensuite, elle tisse le centre de sa toile, toujours en fil non-collants car c'est à cet endroit qu'elle se placera pour attendre sa proie.
    Pour terminer sa toile, l'araignée tisse des cercles concentriques, collants cette fois.
    Lorsqu'un insecte se fait piéger, il se débat et fait vibrer la toile. L'araignée arrive alors vers lui en ne marchant que sur les fils non collants, dont elle connait l'implantation.
    Ceci dit, une araignée maladroite ou amnésique peut très bien se retrouver prise à
    son propre piège !
    ''PourquoiS.com'' 



    19 commentaires

  • Vous aurez peut-être la chance de la voir en entier....


    17 commentaires
  •  Et voici ce que j'ai lu sur le blog de Sandrin link
    Elle a bien voulu que je le recopie ,
    moi j'ai trouvé ce qu'elle a écrit très juste
     et je voulais vous en faire profiter.




     C'est Sandrin qui parle!!


     Que vient faire cette mention sur ce blog, alors que j'ai un blog destiné justement à la cause animale.. mais parce qu'elle me tient à coeur, et le traitement qu'on inflige aux animaux, ce que l'on en fait, ce qu'on leur fait vivre, me concerne à 100%. Je suis avant tout profondément peinée par tout ça. L'état du monde me concerne, car j'en suis un brin, une infime parcelle (j'avais écrit "infirme").

    Je connais des moments heureux, de paix ou de joie. Je sais me poser là, et ne penser à rien, laisser refluer le monde en périphérie de ma vie.  Je sais me détendre, contempler et aimer la vie.

    Mais il n'en reste pas moins que je suis et reste  constituée par ce que les hommes font subir aux animaux, sans que rien, je dis bien rien, ne justifie de telles atrocités. Comment vivre pleinement en paix ou en harmonie lorsqu'on sait ? Lorsqu'on a vu ? Comment retrouver une innocence lorsque le mal vous a traversé ?

    Je fréquente des gens qui se fichent pas mal de tout ça... d'ailleurs je ne leur en parle pas, ça ennuie. Finalement c'est plutot agréable d'échapper un peu aux images, à la connaissance, à ce qui vous fait mal...
    Il n'empêche... ces gens là qui sont indifférents ne pourront jamais à mes yeux avoir toute mon estime.. il y aura toujours en arrière fond la réalité qui me rappelle qu'on a le devoir de savoir et d'agir et que toute personne qui ne remplirait pas ce devoir est fautive.

    Coupable je le suis certainement... perfectible aussi. Et je n'oublie rien. Surtout pas que des milliards d'animaux souffrent jour après jour. C'est toute ma vision de l'humanité qui se fixe à partir de cette réalité (et d'autres bien sur, profondément ancrées dans le 20ème siècle à tout jamais ; mais fallait-il le rajouter ?). Et cette vision est profondément négative. Comment faire confiance après cela ? comment croire en l'Homme  après cela ?

    Pas de paroles apaisantes possibles, pas de niaiseries à débiter, pas de blabla soporifique et si politiquement correct,  ne venez pas me rappeler que des enfants et des femmes souffrent également... C'est la journée des animaux.
    L'Homme est irrémédiablement une ordure.
    sauf moi et ceux qui comme moi rêvent en un monde meilleur, sans viande, sans fourrure, sans cirque, sans expériences animales, sans tortures ni coups, sans combats,  sans commerce, sans zoo, sans parcs ni barbelés, sans abandon..... qui rêvent et accordent leur mode de vie à leur rêve...


    Si ce que je viens de dire ne plait pas, qu'on ne me visite plus...

    Signé Sandrin link  Pérégrinations mentales


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  • Florence Burgat: "S’agissant des souffrances endurées par les animaux, il ne tient qu’à nous d’y mettre fin"

    ...Le 04 octobre est la « journée mondiale des animaux...

    Nous sommes le 04 octobre 2009.

    Parce que c’est le jour de la Saint François d’Assise, le 04 octobre est déclaré « journée mondiale des animaux ». Une journée par an. Non pas pour nous souvenir de la manière dont l’humanité a, durant des siècles, traité les animaux, et se demander comment cela a pu être possible. Mais une journée par an pour parler de ce qu’ils subissent tous les jours, sans répit, partout dans le monde et depuis toujours. Quand les choses vont-elles enfin changer ?

    Deux choses ont changé dans l’histoire sombre des animaux.

    La première chose, c’est qu’on n’a jamais autant tué d’animaux qu’aujourd’hui, on n’en a jamais autant exploités. Jamais la condition des animaux n’a été aussi dure. Ce sont par milliards qu’ils sont enfermés dans les bâtiments d’élevage, abattus à la chaîne, tués par balle, par poison ou par piège à la chasse, pêchés, capturés pour leur fourrure ou leur « exotisme », utilisés dans les laboratoires, dressés et mutilés dans les cirques, abrutis de solitude dans les zoos…

    L’urgence grandit. Car nous avons désormais les moyens scientifiques et techniques d’obtenir d’eux toujours plus : plus de viande, plus de lait, plus de connaissances scientifiques, plus de tout… Le monde animal est exténué. L’homme est en passe d’éradiquer les derniers animaux libres, au profit d’un stock à gérer apte à répondre à tous nos besoins, y compris les plus futiles. Le fait est là.

    La seconde chose, c’est qu’un mouvement mondial de protection et de défense des droits des animaux s’est levé, structuré, amplifié. Il veille, informe, dépense toute l’énergie possible pour dissiper l’indifférence ou l’inconscience de gens qui, pour la plupart, n’ont aucune idée de ce à quoi ils participent par des achats qui semblent bien anodins : du jambon, un yaourt, une paire de chaussures, un rouge à lèvres.

    Quand les choses vont-elles enfin changer ? Souvent, nous déplorons notre impuissance en apprenant que se passent dans le monde des tortures d’humains, des crimes, des enfermements…

    S’agissant des souffrances endurées par les animaux, il ne tient qu’à nous d’y mettre fin : en nous informant et en nous abstenant d’acheter les produits issus de l’exploitation animale. Nous avons pratiquement chaque fois le choix. L’alternative nous est quasiment toujours offerte. Cessons de marcher tête baissée, aveugles et sourds à ce qui – il est vrai – est caché, afin que nul ne voie ni n’entende.

    ===================

    Florence Burgat est directeur de recherche en philosophie à l'Institut national de la recherche agronomique (Paris, France). Elle a enseigné durant quatre ans à l'EHESS. Elle est actuellement rattachée à l'équipe d'accueil « Philosophies contemporaines » (université de Paris I). A travaillé sur la définition de l'animalité dans la philosophie occidentale moderne et contemporaine, et publié sur ce thème, outre de nombreux articles, Animal, mon prochain (Odile Jacob, 1997). Elle travaille aussi sur la condition des animaux dans notre société : L'animal dans les pratiques de consommation (Puf, 1995) ; La protection de l'animal (Puf, 1997) ; avec la collaboration de Robert Dantzer, Les animaux d'élevage ont-ils droit au bien-être ? (éditions de l'Inra, 2001) ; L'animal dans nos sociétés (La Documentation française, revue Problèmes politiques et sociaux, janvier 2004). Ses recherches portent actuellement sur les approches phénoménologiques de la vie animale : Liberté et inquiétude de la vie animale (Kimé, 2006). Elle a dirigé un ouvrage collectif : Penser le comportement animal. Contribution à une critique du réductionnisme, à paraître en Janvier 2010, aux éditions de la Maison des Sciences de l'Homme (Paris).


    Source: Florence Burgat: Les animaux d'élevage ont-ils droit au bien-être ?

    Link: 4 octobre - journée mondiale des animaux - video

    Date: 2009-10-04
     
     
       
     

    7 commentaires


  •  Clo   ( link) m'a gentiment permis de passer la vidéo qu'elle a faite chez elle!

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  • 25 commentaires





  • Cette locution proverbiale est fort ancienne : dès le XIIIème siècle, on peut lire en ancien français "chat eschaudez iaue creint" (chat échaudé craint l'eau). La formulation qu'on lui connaît aujourd'hui n'aura fait que renforcer l'idée maîtresse de crainte exagérée, en insistant sur le caractère inoffensif de l'eau... froide.


    12 commentaires
  • J'ai repris cette info sur le blog de Tachka
    link


    Elle est en grève de la faim depuis le .05 . 09 pour sauver ses porcinets et...
     non, vraiment l'homme est "pourri"


    **********************




    27 septembre 2009

    Ce matin je donne le petit déj aux cochons et sangliers , je ne vois pas Léa dans son parc. Je ne m'inquiète pas , il fait chaud , elle doit être dans un bosquet au frais.

     

    Midi : je leur donne à manger . Pas de Léa. J'entre dans le parc, je l'appelle. Rien. Je fouille partout, je l'appelle et l'appelle encore .Je fais le tour du parc : je vois un trou...........j'ai compris et je m'effondre

     

    14h30 : coup de fil d'un garde chasse "je crois que votre sanglier n'est plus de ce monde"

    J'appelle l'ONCFS et la gendarmerie :ils constatent que le grillage du parc  a bien été coupé.

     

    L'ONCFS a découvert des traces de sang et du poil de sanglier pas loin du parc... Léa est décédée .Il y a enquête

     

    Les ou le chasseur ont donc commi 3 infractions :

    - acte de malveillance (découpage du grillage)

    - violation de domicile ( ils se sont introduits sur une propriété privée)

    - meurtre d'un animal apprivoisé, domestique

     

     

    Léa , ma petite Léa , celle  qui a donné son nom à l'association a été abattue par les chasseurs, les viandards , ces meurtriers en puissance !!!!

    Léa est partie dans les mêmes conditions que sa pauvre mère;

     

    Léa doit sans doute "reposer" dans un frigo et va être servie en repas de famille..

     

    JE HURLE DE DOULEURS

     

    Alors aujourd'hui , j'espère que  les associations qui ont protesté contre le meurtre de Canelle , vont aussi se manifester pour venger Léa .......

     

     

     

     

    http://www.laforetdelea.org/adieu_lea.htm 

     


    14 commentaires
  • Alerte pour tous les amis des animaux!!
    Pour tester les effets du BOTOX
    on sacrifie des animaux
    lire ici
    et faire passer SVP



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