• Flaques d'eau par Anakineo

    Que d'eau! que d'eau! 

    on va bien finir par périr noyés,

    c'est bien ce qu'à dû penser ce petit bonhomme!! 


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    Que d'eau! que d'eau!
     on va bien finir par périr noyés,
    c'est bien ce qu'à dû penser ce petit bonhomme!!

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    Encore une chanson au goût du jour.
    Pas de parapluie avec moi, trop de vent, j'ai ma capuche.

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    Dans la forêt chauve et rouillée,
    Il ne reste plus au rameau
    Qu'une pauvre feuille oubliée,
    Rien qu'une feuille et qu'un oiseau.


    L'oiseau s'en va, la feuille tombe,
    L'amour s'éteint, car c'est l'hiver
    Petit oiseau viens sur ma tombe
    Chanter, quand l'arbre sera vert

    Théophile Gautier

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  • feuille-poeme.jpg  

          

    Dans la forêt chauve et rouillée,

    Il ne reste plus au rameau

    Qu'une pauvre feuille oubliée,

    Rien qu'une feuille et qu'un oiseau.


    L'oiseau s'en va, la feuille tombe,

    L'amour s'éteint, car c'est l'hiver  

    Petit oiseau viens sur ma tombe  

    Chanter, quand l'arbre sera vert

    Théophile Gautier


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    La pluie ne cesse de tomber et à chaque fois,
     j'ai cette chanson en tête.
    Elle ne date pas d'aujourd'hui: 1935

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    DSC05777

     

    Il a neigé. (Maurice Carême )

    Il a neigé dans l'aube rose
    Si doucement neigé,
    Que le chaton croit rêver.
    C'est à peine s'il ose
    Marcher.

    Il a neigé dans l'aube rose
    Si doucement neigé,
    Que les choses
    Semblent avoir changé.

    Et le chaton noir n'ose
    S'aventurer dans le verger,
    Se sentant soudain étranger
    A cette blancheur où se posent,
    Comme pour le narguer,
    Des moineaux effrontés.


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       Le bois des Gripots à St Sébastien

    Le bois des Gripots

     

    Ah ! Qu’il fait bon s’aventurer dans ses sous-bois,

    A l’heure où l’été paresseux est encor roi.

    Marcher sur les sentiers tracés par nos ancêtres,

    Que faut-il de plus pour nourrir notre bien-être ?

      

    S’enivrer, heureux, de l’odeur des baies sauvages

    Des fougères, de la mousse  sous les feuillages.

    Voir se faufiler dans l’herbe le vert lézard,

    Sursauter inquiet à la crainte du renard.

     

    Entendre le doux vent léger  dans la feuillée

    Des  saules, des frênes,  bouleaux et prunelliers,

    Des grands chênes formant une voûte sombre,

    Des taillis touffus et  menaçants dans l’ombre. 

     

    Rejoindre la fée Carabosse buissonnière,

    S’étourdir du cri des enfants dans sa clairière.

    Oublier la ville bruyante pourtant proche,

    Marcher, le cœur léger et les mains dans les poches.

     

                                               Yvette


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