Merci Violette pour  ce prix qui me fait plaisir 

Mais l'ai-je mérité ?

Je vais citer quelques blogs qui méritent bien d'avoir un prix!


Alice:    http://afdj.over-blog.com
Jules de Beauregard, le félin:    http://g.jules.over-blog.com
Paloma le chat :    http://palomastory.canalblog.com

Je viens d’être taguée par Violette.

http://www.violetteruer.com

C’est très simple,  alors dans ce cas, je le fais.

Il faut énumérer 7 choses nous concernant.

 

Je commence :

-Je suis née en Algérie il y a 67 ans mais je n’ai pas connu les tristes événements, donc je ne peux avoir que de bons souvenirs de ce pays.

-J’adore tous les animaux avec une préférence pour les chats, enfin, tous les mammifères. J’ai 10 chats !!!

-J’écris ce que je ne peux peindre

-Et je peins ce que je ne peux écrire.

-J’ai une santé fragile : séquelles d’un lymphome, cancer du système lymphatique. (Mais à 67 ans , me direz-vous, ça tient encore…..)

-J’adore vos commentaires

-Je n’aime pas taguer les autres !!!

 

Mais tout ça vous le savez déjà alors je vais rajouter que :

 

-J’ai un mari charmant et prévenant ( je le mérite vous ne pensez pas ?) et nous sommes mariés depuis plus de 46 ans !

-J’ai une fille et deux « grands » petits-fils que j’adore (tous les 3 !!!!)

- Je n’aime pas perdre mon temps au lit, c’est du temps de gâché sur la vie.

- J’aime la nature et ma région d’adoption, la Loire Atlantique.

- J’adore cuisiner. Logique pour moi la peinture c’est comme la cuisine,  je vais jusqu’à la perfection (oh ! là là, les chevilles ! ) . Bon je cuisine moins quand-même car ça me fatigue, dommage pour les autres !! 

 

Alors qui vais-je taguer ?

Eh ! bien , les personnes qui comme moi trouvent que ce tag est plutôt sympa,

qu’il n’est pas indiscret, (on dit ce qu’on veut !)

Qu’elles prennent la suite !

Il y en a plein sur ma liste de liens.

 

Merci Violette, c’était bien sympa !

 

Mon blog a eu un an hier!
Merci à vous tous mes amis!

 

Le vieux arbre et le jardinier

Un jardinier, dans son jardin,
Avait un vieux arbre stérile ;
C'était un grand poirier qui jadis fut fertile :
Mais il avait vieilli, tel est notre destin.
Le jardinier ingrat veut l'abattre un matin ;
Le voilà qui prend sa cognée.
Au premier coup l'arbre lui dit :
Respecte mon grand âge, et souviens-toi du fruit
Que je t'ai donné chaque année.
La mort va me saisir, je n'ai plus qu'un instant,
N'assassine pas un mourant
Qui fut ton bienfaiteur. Je te coupe avec peine,
Répond le jardinier ; mais j'ai besoin de bois.
Alors, gazouillant à la fois,
De rossignols une centaine
S'écrie : épargne-le, nous n'avons plus que lui :
Lorsque ta femme vient s'asseoir sous son ombrage,
Nous la réjouissons par notre doux ramage ;
Elle est seule souvent, nous charmons son ennui.
Le jardinier les chasse et rit de leur requête ;
Il frappe un second coup. D'abeilles un essaim
Sort aussitôt du tronc, en lui disant : arrête,
écoute-nous, homme inhumain :
Si tu nous laisses cet asile,
Chaque jour nous te donnerons
Un miel délicieux dont tu peux à la ville
Porter et vendre les rayons :
Cela te touche-t-il ? J'en pleure de tendresse,
Répond l'avare jardinier :
Eh ! Que ne dois-je pas à ce pauvre poirier
Qui m'a nourri dans sa jeunesse ?
Ma femme quelquefois vient ouïr ces oiseaux ;
C'en est assez pour moi : qu'ils chantent en repos.
Et vous, qui daignerez augmenter mon aisance,
Je veux pour vous de fleurs semer tout ce canton.
Cela dit, il s'en va, sûr de sa récompense,
Et laisse vivre le vieux tronc.
Comptez sur la reconnaissance
Quand l'intérêt vous en répond.
Florian

Et voilà 20 000 visiteurs

Et tout a craqué !!

 

Plus de ligne téléphonique, plus d’Internet !

Et ça, pendant plus d’une semaine.

C’est notre ligne qui déraille.

Alors s’il vous plait, ne m’en veuillez pas

Si je ne réponds pas à vos commentaires.

Terrible, je suis perdue !

Vous me manquez déjà !

Je vous envoie ce message de chez ma fille.

Mais elle n’habite pas près de chez nous.

Alors il va falloir attendre.

Eh ! bien, vous ne savez pas ?  Non ?

Je vais peindre ! Voilà !

Ou bien écrire, ou bien faire du jardin.

Heureusement que j’avais pris un peu d’avance

Sur ma programmation.

A bientôt mes amis.

Yvette

Mon blog vient d’avoir sa 20 000 ème visite.

D’après Over-blog !

 Car moi j’ai vu que le compteur ne disait pas la même chose,

Alors je l’ai tout simplement supprimé !

Alors qu’est-ce qu’on me dit ? Hein ?

 

Bon si vous ne me le dites pas, moi je me félicite, là !

Ca se fête ! L’apéro ce soir !

 

Il aura un an dans  15 jours.

 

C’est certain, cela pourrait être mieux.

Mais moi je me satisfais de ça.

Un BR de 70 à 82.  Non pas plus !

Il y a mieux, mais il y a pire. Ca me console !

Je vous trouve tous très sympa et je ne cherche pas plus.

Je ne cherche pas de visiteurs pour augmenter mon nombre.

Pourvu que mes articles soient plaisants et lus.

Ils ne peuvent pas plaire à tous, je sais aussi !

Ce n’est pas grave, je crois qu’il y a le choix :

Entre la poésie, la peinture, la  Loire,

L’Algérie et  mes chats !!!

Et puis quelques vidéos trouvées sur Youtube

 avec de la musique pour changer un peu.

Il faut savoir qu’un blog est personnel

et qu’il ne plaira pas forcément à tous.

 

Sachez aussi que  grâce à ce blog, plusieurs personnes

que j’ai connues dans mon enfance en Algérie

m’ont contactée et pour moi cela a été le summum !

 

Alors je ne regrette pas et je vous dis  à tous :

 

Un grand merci pour votre fidélité

Le temps a laissié son manteau

Charles D' Orleans

Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s'est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau. Il n'y a beste, ne oyseau, Qu'en son jargon ne chante ou crie Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye. Riviere, fontaine et ruisseau Portent, en livree jolie, Gouttes d'argent, d'orfaverie ; Chascun s'abille de nouveau Le temps a laissié son manteau.

 La coquette et l'abeille

Chloé, jeune, jolie, et surtout fort coquette,
Tous les matins, en se levant,
Se mettait au travail, j'entends à sa toilette ;
Et là, souriant, minaudant,
Elle disait à son cher confident
Les peines, les plaisirs, les projets de son âme.
Une abeille étourdie arrive en bourdonnant.
Au secours ! Au secours ! Crie aussitôt la dame :
Venez, Lise, Marton, accourez promptement ;
Chassez ce monstre ailé. Le monstre insolemment
Aux lèvres de Chloé se pose.
Chloé s'évanouit, et Marton en fureur
Saisit l'abeille et se dispose
à l'écraser. Hélas ! Lui dit avec douceur
L'insecte malheureux, pardonnez mon erreur ;
La bouche de Chloé me semblait une rose,
Et j'ai cru... ce seul mot à Chloé rend ses sens.
Faisons grâce, dit-elle, à son aveu sincère :
D'ailleurs sa piqûre est légère ;
Depuis qu'elle te parle, à peine je la sens.
Que ne fait-on passer avec un peu d'encens !
Fable de Florian