• Thalassa Algérie Partie 1
     C'est très long , un quart d'heure , mais tellement intéressant!
    Que de projets ! Certains discutables!
    Tout dépend de quel côté on se trouve.

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  • Khamsa, Main de Fatma 

    Khamsa utilisée comme pendentif

    La khamsa ou khomsa, nom provenant des mots arabe (خمسة) et hébreu (חמסה) désignant le chiffre cinq, est un symbole utilisé comme amulette, talisman et bijou par les habitants du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord de toutes confessions (musulmans, chrétiens et juifs séfarads) pour se protéger contre le mauvais œil[1].

    L'appellation islamique alternative est celle de Main de Fatima ou d'Œil de Fatima en référence à Fatima Zahra, la fille du prophète Mahomet. Une autre appellation juive est celle de Main de Myriam, en référence à Myriam, la sœur de Moïse et Aaron.

    La khamsa est une sorte de « main protectrice » ou de « main de Dieu ». Certains associent la signification des cinq doigts aux cinq livres de la Torah pour les Juifs, aux cinq piliers de l'islam pour les sunnites ou aux cinq du manteau (Ahl al-Kisa) pour les chiites. Cette symbolique a sans doute évolué dans le temps au regard des preuves archéologiques suggérant que la khamsa a précédé la naissance des deux religions. En effet, ce symbole pourrait être originaire de la religion punique où il était associé à la déesse Tant. Récemment, des activistes pour la paix au Moyen-Orient ont choisi de porter la khamsa comme symbole des similarités d'origines et de traditions entre les croyances islamiques et juives.

    Les doigts peuvent pointer vers le haut ou vers le bas selon les goûts ou la décoration qui y est associée.

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    Main_de_Fatma-076ok-1bbb_1_.jpg
    Tradition arabe

    La khamsa est essentiellement répandue dans le monde arabe et se voit vendue sous différentes formes, en particulier en Algérie, en Égypte, au Maroc et en Tunisie. Elle est souvent peinte sur les façades des maisons et des plaques, souvent réalisées en céramique de couleur turquoise, sont très communes dans l'Égypte moderne. Toutefois, beaucoup d'Arabes, chrétiens ou musulmans sunnites, regardent celle-ci comme un symbole de superstition : ils pensent que seul Dieu les protège et que la khamsa est donc un totem lié à de l'idolâtrie, ce qui est un péché majeur dans l'islam.

    sources Wikipédia

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    Mais vous avez peut-être d'autres éléments à rajouter , alors n'hésitez pa!


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  • L'Algérie des Orientalistes de Delacroix à Renoir 2ème partie.
    11 minutes c'est long , j'ai eu une coupure en la visionnant,
     mais on y arrive quand-même, les tableaux sont superbes

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  •  Pour vous si vous aimez la peinture !!
    Et si vous aimez l'Algérie.
    C'est long je sais, mais c'est si beau

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  • cherchell


    Iole, Césarée, Cherchell, ruine de la beauté


            Aujourd'hui, je vous écris pour vous demander de me faire sortir de l'agonie où l'on m'a enfoncée car je dépéris. Je suis chroniquement malade et je n'ai plus d'autorité sur mes enfants ni sur mes courtisansqui me boudent et me délaissent dans ma décrépitude. Mon aspect, naguère doux et beau, n'est que pustules et décombres. Mon asphalte est troué, mon corps s'atrophie à vue d'œil, ma physionomie se gangrène. Je deviens sale et je sens mauvais, pourtant l'eau ne manque pasdans mes entrailles. Mes enfants, autant que mes hôtes, me jettent desimmondices en plein visage. Les dépôts d'ordures anarchiques jonchent mes atours. Mon charme particulier s'estompe, mes parures tombent en désuétude, ma civilisation part à vau-l'eau. Je réalise, en cemillénaire naissant, ruines, aujourd'hui, je constate la ruine de ma beauté. Certes, quelquefois des âmes charitables, essayant de me parer denouveaux habits de fête l'espace d'une nuit, m'animent de mille feux, la liesse éphémère des autochtones tout comme celles des invités à qui je n'ai même pas une chambre d'hôtel à offrir, moi qui ai la réputation de ville touristique, me laisse un goût d'amertume et de désarroi. Mon port, illustre jadis par son phare, s'effrite, laissant apparaître mes « eaux » en divers endroits. Mes plages se polluent et se vident deleur sable. Au moindre coup de vent, mon électricité disparaît et quandil y a un orage, je fais naufrage... dans la boue. Mon architecture actuelle ne respect plus mon esthétisme et je n'ai aucun moyen de divertissement à offrir à mes jeunes qui sombrent parfois dans des vices épidémiques. Il est vrai que j'ai vu des aberrations ou la logique de l'absurde transforme des abribus en kiosques, une bibliothèque en bureau administratif, un stade en chantier interminable et j'en passe. Monsieur le président, pour entretenir une courtisane comme, moi il faut un certain savoir-faire, une solide culture, beaucoup de sagesse, un raffinement empreint de poésie et une appréciation intellectuelledoublée d'un courage certain et d'une honnêteté scrupuleuse. Votre Excellence, je souffre de me voir souffrir et c'est pour cela queje vous demande une main salutaire, un regard compatissant, une aide digne d'une ancienne capitale car vous êtes mon unique recours avant mon dernier râle.

    Maâmar Chabni, Algérie Hebdo n° 12 DU 9 AU 15 janvier 2003.

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  • Rêve d'Algérie


    Algérie, mon pays natal

     

    « Je marche sur les galets de la plage, ils sont doux et chauds.
     L’odeur iodée des algues fines et l’air salé sur mon visage m’enivrent.
     Je flotte maintenant au-dessus des vagues, je me sens bien.
    Comme il fait beau et je suis si légère !
    Je suis partout à la fois, je cueille des fleurs jaunes,
     des brassées de fleurs, du géranium odorant au feuillage ciselé,
    je reviens sur la plage, je cours, je vole, mais oui, je vole,
    je ramasse des coquillages, je scrute l’horizon,
    je cueille encore des fleurs,
    je monte la rue vers le centre du village, je respire, je vis !
    Les maisons si blanches sont toujours là.
     Je suis dans la montagne entre les pins et les chênes-lièges,
    je redescends, je suis infatigable.
    Je suis libérée ! Libérée de cette paroi du temps.
    Le rideau s’est enfin ouvert. 
    Des émotions déferlent en moi,
    je suis fragile et forte à la fois.
    Je vis dans le magique et dans le réel.
    Je me sens en harmonie dans cet espace qui m’est connu
     et que j’attendais de retrouver depuis si longtemps
     et en même temps j’ai une crainte,
    que j’essaie de refouler au plus profond de moi.
    J’ai conscience de ne plus raisonner, je subis.
     D’où me vient cette sensation de bien-être ?
     D’où me vient ce malaise qui s’insinue petit à petit ?
     Il faut que je sache ! Mais non, à quoi bon, plus tard !
     Il y a encore des fleurs à cueillir, des coquillages à ramasser,
    des ruelles à visiter ! Il fait si beau !
    D’ailleurs il fait toujours beau ici.
    Ici ? Mais où suis-je donc ?
    Tu le sais bien où tu es ! Tu le sais !
    Mais oui, je le sais ! Enfin ! Enfin, je suis de retour au pays, oui…
    C’est ça, je suis revenue dans mon pays. Mon Pays ! 
    Quel bonheur !
    J’ai réussi enfin à revenir, j’ai tout bravé et j’ai réussi !
     La Méditerranée est là, immense devant moi,
    les paquebots au loin, je les vois, je les reconnais.
    Comme avant quand j’avais dix ans !
    Comme avant ! J’ai pris le bateau et je suis arrivée à Gouraya !
     
    Gouraya enfin ! Quel bonheur !
    Oui mais…Je sens encore en moi ce trouble,
    comme une appréhension.
    Malgré moi, je frissonne d’inquiétude  mais aussi de joie.
    Je suis au supplice.
    Je n’ai plus de raisonnement.
    Je commence à douter, à m’affoler.
    Il faut que je prenne garde, la chute va être terrible.
     Il faut réfléchir et vite, vite.
    La torture commence à s’insinuer, de plus en plus lancinante ?
    Qui est près de moi, en ce moment ?
     Avec qui est-ce que je partage ces moments de bonheur ?
     Et puis quel bateau ai-je pris pour arriver ici ?
    Ou alors quel avion ? Comment s’est passé le voyage ?
     Il faut à tout prix que je sache.
     C’est la condition pour ne pas sombrer dans le désespoir.
    Depuis quand suis-je ici ?
    Oh ! Tout s ‘embrouille dans ma tête.
    Non, ce n’est pas possible, la cassure !
    Le rideau se referme,
    c’est encore ce rêve, ce rêve qui revient tout le temps,
     il faut que je revienne sur terre, c’est trop dur.
    Et je me bats de toutes mes forces.
    Finalement je réussis à m’extirper de ce guêpier,
    je réussis à me persuader que c’est un rêve.
    Un beau rêve qui va se  transformer en cauchemar si je ne réagis pas.
     Le matin, au réveil, je me sens abattue.
    Une impression de vide, il me manque quelque chose
    On m’a pris quelque chose ! »

    Rêve que j'ai fait des centaines de fois.
    Il est encré dans mon coeur, ce pays et n'en sortira jamais!!


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  • Je dédie cet article et ces photos à Jean-Marie.
    http://jmbayona.over-blog.com/
    Je ne sais pas s'il va reconnaître sa ville natale.
    Moi je n'y suis jamais allée, dommage, cela doit être une bien belle ville

     Mostaganem

    Mostaganem est une ville de 205 000 habitants,
     située à 104 mètres d'altitude sur le rebord d’un plateau côtier.
     La ville contemple à l’ouest la large baie d’Arzew que termine le djebel Orousse ;
     elle est assise sur les rives de l’Aïn Sefra dont,
    à plusieurs reprises et notamment en 1927,
     elle a eu à redouter les crues ;
    elle se compose d’une ville neuve, très étendue,
    et d’une vieille ville, plus compacte, accrochées de part
    et d’autre d’un profond ravin creusé par l’Aïn Sefra, qui arrose des jardins.
     La localité est bien située au débouché des plaines du Chélif et de la Macta,
    Bien qu’elle ait depuis longtemps cédé le pas
    à la métropole de l’Algérie occidentale, Oran,
     Mostaganem est une ville grouillante qui a gardé un caractère ancien,
     mais s’est également ouverte à une économie moderne.
    Sources: Wikipédia.




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