• 8 commentaires

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  •  

    A tous les abonnés à ma newsletter!

     

     

    Bonne et Heureuse Année !

     

     

     

    Un grand merci à vous pour votre assiduité !

    Il y en a beaucoup parmi vous qui ont des blogs,

     nous nous connaissons et nous pouvons ainsi converser

    Cependant il y en a que je ne connais pas.

    Et ma liste s’allonge sans que je puisse vous dire « Merci ».

     

     

    « Merci !»,

     

    Merci de suivre mon blog ,

    et  merci à vous qui venez  de vous inscrire récemment.

    J’aimerais vous connaître mieux cependant je respecte votre anonymat.

    A bientôt.

     

        Yvette du blog de Béjar


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    Bonne et Heureuse Année !

     

     

     

    Un grand merci à vous pour votre assiduité !

    Il y en a beaucoup parmi vous qui ont des blogs,

     nous nous connaissons et nous pouvons ainsi converser

    Cependant il y en a que je ne connais pas.

    Et ma liste s’allonge sans que je puisse vous dire « Merci ».

     

     

    « Merci !»,

     

    Merci de suivre mon blog ,

    et  merci à vous qui venez  de vous inscrire récemment.

    J’aimerais vous connaître mieux cependant je respecte votre anonymat.

    A bientôt.

     

        Yvette du blog de Béjar


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  •   Vieux comme Hérode

     

    Lybaert 7Cette expression s'applique principalement à des choses ("Cette maison est vieille comme Hérode").
    Elle est citée par Furetière au XVIIe siècle, mais sa date d'apparition semble inconnue.

    Contrairement à Mathusalem qui, lui, vécu 'réellement' très vieux (969 ans, excusez du peu !), aucun des différents Hérode connus qui faisaient partie d'une dynastie de rois de Judée, n'a eu une extrême longévité.
    Si le premier, Hérode Ier le Grand, a quand même vécu 69 ans, ce qui pour l'époque était une durée de vie rare, ce n'était quand même pas suffisant pour qu'il marque les siècles de cette manière.

    Alors, soit c'est le cumul des règnes des 6 Hérode, qui se sont succédé de 73 avant J.C. jusqu'en l'an 93, qui a marqué les esprits au point de donner naissance à notre locution, soit il faut simplement la comprendre comme "assez vieux pour remonter au temps d'Hérode".

    Parmi les plus connus de ces souverains, on trouve donc Hérode Ier le Grand, qui, selon les Evangiles, fut l'instigateur du massacre des Innocents et Hérode Antipas , un de ses fils qui, d'après la même source, fit mourir Jean-Baptiste.

    Sources Expressio

     

    Mais connaissez vous l'expression: Vieux comme mes robes!!!!!

     

     


    25 commentaires
  •   Vieux comme Hérode

     

    Lybaert 7Cette expression s'applique principalement à des choses ("Cette maison est vieille comme Hérode").
    Elle est citée par Furetière au XVIIe siècle, mais sa date d'apparition semble inconnue.

    Contrairement à Mathusalem qui, lui, vécu 'réellement' très vieux (969 ans, excusez du peu !), aucun des différents Hérode connus qui faisaient partie d'une dynastie de rois de Judée, n'a eu une extrême longévité.
    Si le premier, Hérode Ier le Grand, a quand même vécu 69 ans, ce qui pour l'époque était une durée de vie rare, ce n'était quand même pas suffisant pour qu'il marque les siècles de cette manière.

    Alors, soit c'est le cumul des règnes des 6 Hérode, qui se sont succédé de 73 avant J.C. jusqu'en l'an 93, qui a marqué les esprits au point de donner naissance à notre locution, soit il faut simplement la comprendre comme "assez vieux pour remonter au temps d'Hérode".

    Parmi les plus connus de ces souverains, on trouve donc Hérode Ier le Grand, qui, selon les Evangiles, fut l'instigateur du massacre des Innocents et Hérode Antipas , un de ses fils qui, d'après la même source, fit mourir Jean-Baptiste.

    Sources Expressio

     

    Mais connaissez vous l'expression: Vieux comme mes robes!!!!!

     

     


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    Dupré jules l'île adam 1189 troupeau près du moulin

     

    Troupeau près du moulin de Jules Dupré

     

               Jules Dupré né à Nantes, le 5 avril 1811 et mort à L'Isle-Adam, le 6 octobre 1889, est un peintre paysagiste français apparenté à l'école de Barbizon, bien qu'il n'y peint qu'épisodiquement. Ses relations fraternelles, romantiques, avec Théodore Rousseau , souvent orageuses, quasi exclusives à certaines périodes ont suscité bien des commentaires. L'influence réciproque des deux hommes constitue sans doute une des clefs de leurs œuvres, de l'évolution et la compréhension du paysage français.


    12 commentaires
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    Dupré jules l'île adam 1189 troupeau près du moulin

     

    Troupeau près du moulin de Jules Dupré

     

               Jules Dupré né à Nantes, le 5 avril 1811 et mort à L'Isle-Adam, le 6 octobre 1889, est un peintre paysagiste français apparenté à l'école de Barbizon, bien qu'il n'y peint qu'épisodiquement. Ses relations fraternelles, romantiques, avec Théodore Rousseau , souvent orageuses, quasi exclusives à certaines périodes ont suscité bien des commentaires. L'influence réciproque des deux hommes constitue sans doute une des clefs de leurs œuvres, de l'évolution et la compréhension du paysage français.


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  •   y1pctyfskd14iszgkfmrsw1imvl29qinaj3qihgtgymxgfa2nghykp0azqh

    Il fait très froid dehors,

    Comme il fait très froid dans mon cœur.

    Pourquoi suis-je ainsi si troublée ?

    Partagée entre mon cœur et mon pauvre vieux corps ?

    On dit que le froid assainit,

    Que cela tue les microbes et la vermine !

    Qu’entend-on par vermine, dites le moi ?

    Est-ce qu’un sans-logis est une vermine ?

    Les chats et les chiens errants sont-ils des vermines ?

    Les oiseaux affamés dans la neige sont-ils aussi des vermines ?

    Ils meurent sans que quiconque ne lève le doigt.

    Et moi dans tout ça ? Oui ! C’est la question !

    Que fais-je pour eux ? Rien ! Ou si peu !

    Recueillir un pauvre vieux chien malade,

    Un oiseau avec une seule patte, une vieille chatte…

    La perte de trois de mes greffiers cet été.

    C’est mon palmarès de cette année qui se termine.

    Pas terrible tout ça!

     C’est si peu comparé à toute cette misère.

    Plus jeune, j'arrivais à faire plus.

    Mon cœur s’emballe et me dit :

    « Vas-y, n’hésite pas, continue

    Tu peux encore faire plus, il y a de la place ».

    A cela mon pauvre corps répond

    « Halte-là ! Tout doux ! Stop !

    Tu ne tiendras jamais le coup,

    Ton âge, ton dos, tes vieux os ! Tu n’y penses pas ? ».

    Même Décembre meurt dans la froidure.

    Et Janvier qui derrière trépigne de joie,

    Avec ses bourrasques de neige, son vent glacial.

    Il faut des saisons, dit-on ? Bien-sûr ! C’est un cycle normal !

    Moi-même j’en arrive à l’hiver de ma vie.

    C’est pourquoi  mon cœur a si froid

    Dans une maison où il ferait si bon  vivre .

      Yvette

     

     


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  •   y1pctyfskd14iszgkfmrsw1imvl29qinaj3qihgtgymxgfa2nghykp0azqh

    Il fait très froid dehors,

    Comme il fait très froid dans mon cœur.

    Pourquoi suis-je ainsi si troublée ?

    Partagée entre mon cœur et mon pauvre vieux corps ?

    On dit que le froid assainit,

    Que cela tue les microbes et la vermine !

    Qu’entend-on par vermine, dites le moi ?

    Est-ce qu’un sans-logis est une vermine ?

    Les chats et les chiens errants sont-ils des vermines ?

    Les oiseaux affamés dans la neige sont-ils aussi des vermines ?

    Ils meurent sans que quiconque ne lève le doigt.

    Et moi dans tout ça ? Oui ! C’est la question !

    Que fais-je pour eux ? Rien ! Ou si peu !

    Recueillir un pauvre vieux chien malade,

    Un oiseau avec une seule patte, une vieille chatte…

    La perte de trois de mes greffiers cet été.

    C’est mon palmarès de cette année qui se termine.

    Pas terrible tout ça!

     C’est si peu comparé à toute cette misère.

    Plus jeune, j'arrivais à faire plus.

    Mon cœur s’emballe et me dit :

    « Vas-y, n’hésite pas, continue

    Tu peux encore faire plus, il y a de la place ».

    A cela mon pauvre corps répond

    « Halte-là ! Tout doux ! Stop !

    Tu ne tiendras jamais le coup,

    Ton âge, ton dos, tes vieux os ! Tu n’y penses pas ? ».

    Même Décembre meurt dans la froidure.

    Et Janvier qui derrière trépigne de joie,

    Avec ses bourrasques de neige, son vent glacial.

    Il faut des saisons, dit-on ? Bien-sûr ! C’est un cycle normal !

    Moi-même j’en arrive à l’hiver de ma vie.

    C’est pourquoi  mon cœur a si froid

    Dans une maison où il ferait si bon  vivre .

      Yvette

     

     


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