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Cicéri Eugène, 1813-1890 l'approche de l'orage .
Il reçoit son premier enseignement de son père, ainsi que de son oncle Eugène Isabey (sa mère est la sœur d'Eugène, et la fille de Jean-Baptiste Isabey). Eugène Cicéri subit ensuite, comme beaucoup d'artistes de sa génération, l'influence de l'école de Barbizon. Il travaille le paysage à Fontainebleau et ses environs. Il expose pour la première fois au Salon de Paris en 1851. Sa Vue prise au bord du Loing lui vaut une médaille de deuxième classe.
Non seulement peintre, mais aussi aquarelliste, il sacrifie à la mode des « artistes voyageurs » et publie des recueils de lithographies d'après ses dessins, qui témoignent d'un souci de réalisme plus marqué que ses prédécesseurs romantiques, n'hésitant pas à utiliser la photographie comme documentation
Sources: Wikipédia
12 commentaires -
Cicéri Eugène, 1813-1890 l'approche de l'orage .
Il reçoit son premier enseignement de son père, ainsi que de son oncle Eugène Isabey (sa mère est la sœur d'Eugène, et la fille de Jean-Baptiste Isabey). Eugène Cicéri subit ensuite, comme beaucoup d'artistes de sa génération, l'influence de l'école de Barbizon. Il travaille le paysage à Fontainebleau et ses environs. Il expose pour la première fois au Salon de Paris en 1851. Sa Vue prise au bord du Loing lui vaut une médaille de deuxième classe.
Non seulement peintre, mais aussi aquarelliste, il sacrifie à la mode des « artistes voyageurs » et publie des recueils de lithographies d'après ses dessins, qui témoignent d'un souci de réalisme plus marqué que ses prédécesseurs romantiques, n'hésitant pas à utiliser la photographie comme documentation
Sources: Wikipédia
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Une barque à la Patache vers Champtoceaux
Il faisait très beau ce jour-là!
Un ciel ligérien
Reflets de Loire
Une barque aux amarres se balance mollement
sous la voute des saules gris bleus.
Sa symétrie, absolument identique,
Frissonnante et légèrement striée
lance des étincelles d’émeraude et de topaze
sur l’onde souple du fleuve.
Miroir complice, berceau éternel.
Le rêveur se perd dans un monde magique,
psyché chimérique au pays des ondines
et des nymphes enjôleuses.
Il monte une odeur envoûtante de roseaux,
et de terre mouillée
prélude à une journée sans nulle autre pareille !
Yvette!
Pas de rimes, juste un petit texte libre
18 commentaires -
Une barque à la Patache vers Champtoceaux
Il faisait très beau ce jour-là!
Un ciel ligérien
Reflets de Loire
Une barque aux amarres se balance mollement
sous la voute des saules gris bleus.
Sa symétrie, absolument identique,
Frissonnante et légèrement striée
lance des étincelles d’émeraude et de topaze
sur l’onde souple du fleuve.
Miroir complice, berceau éternel.
Le rêveur se perd dans un monde magique,
psyché chimérique au pays des ondines
et des nymphes enjôleuses.
Il monte une odeur envoûtante de roseaux,
et de terre mouillée
prélude à une journée sans nulle autre pareille !
Yvette!
Pas de rimes, juste un petit texte libre
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Photo studentsofttheworld
A cheval donné on ne regarde pas la bride
- Un cheval se paye en général assez cher. S’il a une bride en mauvais état, il garde quand même une certaine valeur. Donc, si c’est un cadeau , il n’y a pas lieu de se plaindre.
- Et moi j'ajoute, c'est le geste qui compte!
- Si l’on vous fait un cadeau, prenez le tel qu’il est.
- Si vous ne payez pas cher, ne vous attendez pas à une qualité exceptionnelle.
22 commentaires -
Photo studentsofttheworld
A cheval donné on ne regarde pas la bride
- Un cheval se paye en général assez cher. S’il a une bride en mauvais état, il garde quand même une certaine valeur. Donc, si c’est un cadeau , il n’y a pas lieu de se plaindre.
- Et moi j'ajoute, c'est le geste qui compte!
- Si l’on vous fait un cadeau, prenez le tel qu’il est.
- Si vous ne payez pas cher, ne vous attendez pas à une qualité exceptionnelle.
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Le poème qui suit n'est pas de moi, il est de Marielle
http://marielle-poesie.over-blog.com/
C'est une gentille mamie, un peu plus âgée que moi,
mais qui a de gros soucis de santé en ce moment.
Je ne lui ai pas demandé la permission de me servir.
Si vous aviez la gentillesse de passer sur son blog pour la réconforter
elle serait heureuse et elle en a besoin.
Douces campagnes
Dans nos campagnes si douces,
Sous les enclos intimes et feuillus,
Les violettes se blottissent au creux des mousses,
Quand s'estompe le jour et tinte l'angélus.
Au bord d'une rivière docile,
Pleure un vieux saule penché.
Les saisons s'écoulent ...les années,
Sous un bonheur caché et tranquille.
Tout au long des paisibles ruisseaux,
Des chemins creux comme au temps féodaux,
En nos terroirs flâne la mélancolie,
Pour garder en nos coeurs, toutes les rêveries.
Et la plume de "Sand" sous la lampe feutrée,
Berce les paysages dans la brise mouillée.
J'aime ce coin de Terre où j'ai ouvert les yeux,
Où pauvres mais heureux, ont vécus mes aïeux !
Marielle
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Le poème qui suit n'est pas de moi, il est de Marielle
http://marielle-poesie.over-blog.com/
C'est une gentille mamie, un peu plus âgée que moi,
mais qui a de gros soucis de santé en ce moment.
Je ne lui ai pas demandé la permission de me servir.
Si vous aviez la gentillesse de passer sur son blog pour la réconforter
elle serait heureuse et elle en a besoin.
Douces campagnes
Dans nos campagnes si douces,
Sous les enclos intimes et feuillus,
Les violettes se blottissent au creux des mousses,
Quand s'estompe le jour et tinte l'angélus.
Au bord d'une rivière docile,
Pleure un vieux saule penché.
Les saisons s'écoulent ...les années,
Sous un bonheur caché et tranquille.
Tout au long des paisibles ruisseaux,
Des chemins creux comme au temps féodaux,
En nos terroirs flâne la mélancolie,
Pour garder en nos coeurs, toutes les rêveries.
Et la plume de "Sand" sous la lampe feutrée,
Berce les paysages dans la brise mouillée.
J'aime ce coin de Terre où j'ai ouvert les yeux,
Où pauvres mais heureux, ont vécus mes aïeux !
Marielle
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On joue à à quoi?
A chat perché ou à cache-cache?
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