• Les ailes des papillons

    Celui-ci c'est un papillon de nuit.
    Il a fini par tomber dans l'eau.
    Pourtant on a tout fait pour éviter ça.
    On l'a repêché et on l'a fait sortir.
    On ne l'a plus revu.

    Les ailes des papillons sont constitués de minuscules écailles superposées (visible au microscope).
    Lorsque l'on touche les ailes d'un papillon, on a l'impression d'avoir de la poudre sur les doigts, il n'en est rien, il s'agit en fait de ces écailles qui constituent l'unité des ailes du papillon (en plus de fournir la pigmentation qui les rends si célèbres et si beaux)
    Lorsque l'on enlève cette poudre, on dépossède le papillon de cette herméticité qui lui permet de voler.
    (Sources: pourquois.com)


    13 commentaires
  • Les ailes des papillons

    Celui-ci c'est un papillon de nuit.
    Il a fini par tomber dans l'eau.
    Pourtant on a tout fait pour éviter ça.
    On l'a repêché et on l'a fait sortir.
    On ne l'a plus revu.

    Les ailes des papillons sont constitués de minuscules écailles superposées (visible au microscope).
    Lorsque l'on touche les ailes d'un papillon, on a l'impression d'avoir de la poudre sur les doigts, il n'en est rien, il s'agit en fait de ces écailles qui constituent l'unité des ailes du papillon (en plus de fournir la pigmentation qui les rends si célèbres et si beaux)
    Lorsque l'on enlève cette poudre, on dépossède le papillon de cette herméticité qui lui permet de voler.
    (Sources: pourquois.com)


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  •  Cadeau de Tachka
     
     Merci ma chère Tachka, ta couronne est très belle,
    un peu en avance pour Noël mais je te fais confiance
    tu fais des essais et moi j'aime montrer ce que tu fais.
    Moi je ne suis pas douée pour ça!

    12 commentaires
  •  Cadeau de Tachka
     
     Merci ma chère Tachka, ta couronne est très belle,
    un peu en avance pour Noël mais je te fais confiance
    tu fais des essais et moi j'aime montrer ce que tu fais.
    Moi je ne suis pas douée pour ça!

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  •  Reprise d'un article que j'avais écrit au début de mon blog.

     

    Odyssée d’une goutte d’eau

     

    Elle a jailli de sa source, enfin libérée

    De cette gangue de roche brune et glacée,

    Petite goutte d’eau pure, un peu perturbée,

    Glissant, fragile, sur les pierres vernissées.

    Un courant malin l’entraîna dans son sillage,

    Dévalant des pentes abruptes et ourlées

    D’arbrisseaux échevelés et de fins herbages

    Givrés, l’embellissant de merveilleux reflets.

    Elle fila, heureuse, entre des saules nacrés

    Se courbant sur son propre miroir diaphane,

    Puis s’étala, ivre, sur des sablons ocrés,

    Bercée par la brise et sa mélodie profane.

    Les tout premiers rayons de l’aube la surprirent

    Et charmée, l’attirèrent, telle Loreleï

    Par des visions de lointains atolls de corail.

    De ruisseau en rivière, de rivière en fleuve,

    Elle traversa des campagnes et des saisons,

    S’accrochant parfois à des esquifs qui se meuvent,

    Légers, l’entraînant vers de nouveaux horizons.

    Enfin, l’irrésistible océan l’enjôla,

    L’enroulant dans des vagues prises de folie,

    La rejetant, en rugissant, avec fracas

    Contre des carcasses ou des récifs maudits.

    Ballottée  par ce mouvement perpétuel,

    Perdue, elle allait sombrer vers des fonds hostiles

    Quand enfin, un ange la posa sur son aile

    Et délivra la petite goutte fragile

    Qui nous retrouva sur terre en larme de pluie,

    Petite goutte d’eau, miracle de la vie.


                                            Yvette 

                                   


    9 commentaires
  •  Reprise d'un article que j'avais écrit au début de mon blog.

     

    Odyssée d’une goutte d’eau

     

    Elle a jailli de sa source, enfin libérée

    De cette gangue de roche brune et glacée,

    Petite goutte d’eau pure, un peu perturbée,

    Glissant, fragile, sur les pierres vernissées.

    Un courant malin l’entraîna dans son sillage,

    Dévalant des pentes abruptes et ourlées

    D’arbrisseaux échevelés et de fins herbages

    Givrés, l’embellissant de merveilleux reflets.

    Elle fila, heureuse, entre des saules nacrés

    Se courbant sur son propre miroir diaphane,

    Puis s’étala, ivre, sur des sablons ocrés,

    Bercée par la brise et sa mélodie profane.

    Les tout premiers rayons de l’aube la surprirent

    Et charmée, l’attirèrent, telle Loreleï

    Par des visions de lointains atolls de corail.

    De ruisseau en rivière, de rivière en fleuve,

    Elle traversa des campagnes et des saisons,

    S’accrochant parfois à des esquifs qui se meuvent,

    Légers, l’entraînant vers de nouveaux horizons.

    Enfin, l’irrésistible océan l’enjôla,

    L’enroulant dans des vagues prises de folie,

    La rejetant, en rugissant, avec fracas

    Contre des carcasses ou des récifs maudits.

    Ballottée  par ce mouvement perpétuel,

    Perdue, elle allait sombrer vers des fonds hostiles

    Quand enfin, un ange la posa sur son aile

    Et délivra la petite goutte fragile

    Qui nous retrouva sur terre en larme de pluie,

    Petite goutte d’eau, miracle de la vie.


                                            Yvette 

                                   


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  •  Algerie - Histoire Coloniale - Partie7

     


    6 commentaires
  •  Algerie - Histoire Coloniale - Partie7

     


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  • Vous souvenez-vous?

     

    François Villon

    Ballade des Dames du temps jadis

    Dites-moi où, n'en quel pays,
    Est Flora la belle Romaine,
    Archipiades, ne Thaïs,
    Qui fut sa cousine germaine,
    Echo, parlant quant bruit on mène
    Dessus rivière ou sur étang,
    Qui beauté eut trop plus qu'humaine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Où est la très sage Héloïs,
    Pour qui fut châtré et puis moine
    Pierre Esbaillart à Saint-Denis ?
    Pour son amour eut cette essoine.
    Semblablement, où est la roine
    Qui commanda que Buridan
    Fût jeté en un sac en Seine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    La roine Blanche comme un lis
    Qui chantait à voix de sirène,
    Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz,
    Haramburgis qui tint le Maine,
    Et Jeanne, la bonne Lorraine
    Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
    Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Prince, n'enquerrez de semaine
    Où elles sont, ni de cet an,
    Que ce refrain ne vous remaine :
    Mais où sont les neiges d'antan ?


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  • Vous souvenez-vous?

     

    François Villon

    Ballade des Dames du temps jadis

    Dites-moi où, n'en quel pays,
    Est Flora la belle Romaine,
    Archipiades, ne Thaïs,
    Qui fut sa cousine germaine,
    Echo, parlant quant bruit on mène
    Dessus rivière ou sur étang,
    Qui beauté eut trop plus qu'humaine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Où est la très sage Héloïs,
    Pour qui fut châtré et puis moine
    Pierre Esbaillart à Saint-Denis ?
    Pour son amour eut cette essoine.
    Semblablement, où est la roine
    Qui commanda que Buridan
    Fût jeté en un sac en Seine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    La roine Blanche comme un lis
    Qui chantait à voix de sirène,
    Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz,
    Haramburgis qui tint le Maine,
    Et Jeanne, la bonne Lorraine
    Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
    Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Prince, n'enquerrez de semaine
    Où elles sont, ni de cet an,
    Que ce refrain ne vous remaine :
    Mais où sont les neiges d'antan ?


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